L'aube fleurie

L'aube fleurie

L'atelier d''écriture

 

 

Atelier de Ghislaine n° 234

1. Insérer les 6 mots suivants dans le texte :

Élan silence oubli clair petit peur

2. ou les 6 autres :

Espace temps brume infini étreindre calmer

3. Ou insérer 5 mots commençant par F

4. ou 5 mots finissant par « ine » « inne »

5. ou 5 mots commençant par br

6. ou ressenti sur image :

 

 

J'ai choisi de relever les 6 défis en un :

 

 

     La vie peut vous paraître fort étrange, parfois…

 

  En la brume de vos pensées assassines, où vous déambulez bravement dans l’espoir factice d’un temps plus clair, se produit soudain un miracle. Vous ne vous y attendiez pas, vous n’y croyiez plus. Pourtant c’est là. Tout à coup le temps s’arrête. L’espace se transforme. L’éternité entre vos mains. L’infini en vos attentes. Plus de peur, de doute. D’hésitation. De procrastination. Oubli total de vos limites. Des épines de vos défaites. Des ronces de vos espoirs déçus. Vous brisez la routine. Pourfendez les faux obstacles. Bravez l’impossible.

 

  Mû par un élan fabuleux, vous faites un saut quantique vers cette autre réalité où la liberté d’être soi peut enfin vous étreindre. Vous en bredouillez d’émerveillement, en tremblez d’attente fébrile, puis vous plongez dans le silence, car les mots ne suffisent plus pour décrire l’excitation artistique qui vous saisit, comme le soleil saisit l’aube dans sa lumière.

 

  D’un tout petit pas, vous venez de faire un voyage intersidéral en avançant franchement sans vous retourner. Ceci calme instantanément la moindre de vos appréhensions. Vous venez de dépasser vos limites, et vous avez ouvert la porte d’un monde inconnu : celui de votre imagination, hier encore étouffée sous les braises de l’impossible ou de la bienséance.

 

  Vous pensez en manquer, de cette imagination ? Vous craignez la page blanche ? L’incompréhension de vos mots par les autres ? La critique ?

  Alors inscrivez-vous à un atelier d’écriture, où d’autres participants ont eu un jour les mêmes craintes que vous, soyez-en sûrs, les mêmes brèves réticences intestines vite oubliées et dépassées. Car une fois sur les rails d’un atelier d’écriture, vous vous sentez fièrement pousser des ailes.  Et attention, pas celles d’un oisillon maladroit sur le point de tomber du nid, mais celles d’un aigle ou d’un faucon, là-haut, très haut dans le ciel, qui tutoie les étoiles et parle avec la lune, cette muse élégante et discrète qui vous inspire vos mots en sourdine, puis vous écoute en souriant les rimer avec joie, attendrie et heureuse de vous voir enfin vous.

 

MPV

 

 

 

 



16/03/2024
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