La maison bleue
C’était la maison bleue des vacances estivales
Dans l’été qui fleurait la joie et l’insouciance,
Ses murs se réjouissaient de ses mille fragrances
Qui faisaient des heureux dans un cadre idéal,
C’était l’entrée du ciel, cette porte amicale
Qui chantait sous l’azur d’humaines transhumances.
Enfin goûter l’air pur, quel plaisir ! Quelle chance !
Quel arôme de miel, quel bonheur sans égal !
Et ce petit jardin qui fleurait la lavande !
Quel merveilleux écrin ! C’était notre légende
Dont les fées et lutins étaient les rois et reines.
Des couleurs, des parfums, dont nos humeurs dépendent…
Dans les jours incertains, entre douleur et peine,
Mon esprit se souvient de ce mas sur la lande.
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