La terre en sommeil
La terre en sommeil abrite le vivant.
Des cœurs au ralenti palpitent sous le manteau blanc.
Ainsi en va-t-il de l’espoir.
On le croit mort et il n’est qu’endormi,
Sous l’amas neigeux de la glaciale solitude.
Au printemps de l’amour, il s’éveille.
Il n’appartient qu’à lui de se lever et de sortir
Au milieu des fleurs en boutons.
Martine
Retour aux articles de la catégorie Insolence des mystères... -
⨯
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 173 autres membres